LES OGM
Katja Veber
Les plantes génétiquement modifiées sont soumises à un ensemble de réglementaires de leur création au laboratoire jusqu'à leur commercialisation. En tant que citoyens de l’Union européenne, on peut entendre beaucoup d’opinions d’experts pour ou contre les OGM mais en général on se sent assez protégé contre des produits allimentaires qui pourraient être nuissants pour la sante. Mais est-ce que nous devrions nous enquêter plus et devenir plus prudent? Telle est la question que je voudrais traiter avec vous.
Tout d’abord, je voudrais donner quelques exemples récents qui montrent que les produits nuissibles sont trop souvent disponibles aux consommateurs qui pensent être protégés. Ensuite je vais expliquer pourquoi cette situation existe et enfin nous allons voire s’il y a une solution à ce problème.
Premièrement, je vais vous donner quelques examples des OGM qui étaient vendus dans les supermarchés en Europe. L’un de ces produits est du riz long grain qui était manipulé pour être tolerant à un herbicide et il est à priori non dangereux pour la santé humaine. Mais comme tous le riz OGM il est enterdit en Europe. Le propriétaire de ce mutant est la société Bayer. Il le vendait dès janvier 2006. En juillet, il a confirmé la contamination aux autorités américaines. Elles ont averti l’UE tardivement, en août. L’EU a d’abord bloqué des cargaisons et reclamé des tests dans les pays concernés. Ensuite des produits qui étaient positifs ont été retiré du marché. Un autre produit détecté, en 2000, était le maïs OGN de la société américaine Starlink qui est authorisée pour l’alimentation de betail. En 2001, des semenciers français ont été condamnés pour la contamination de leur lots. En 2005, des papayes OGM cultivées en Thaïlande étaient vendues en Allemagne même si leur vente été banni dans l’UE.
Comment ces produits ont ils pénetré la chaîne alimentaire? Les enquêtes menées par le projet Co-extra qui vis à harmoniser la tracabilité et la détection des OGM ont montré que les scientifiques utilisent des méthodes très éfficases qui sont constamment améliorées. Mais si par example dans le cas précédent, la société Bayer ne communiquait pas la présence de l’OGM interdit il aurait été difficile sinon impossible d’éffectuer les tests. Très souvent les ONG dans certains états affirment avoit détecter des traces d’OGM. Or, l’ONG accusatrice comme l’importateur se recourent à des laboratories privés. Beaucoup des experts s’accordent que ces laboratories, contrairement aux laboratories d’état, ont du mal à éffectuer des analyses fiables. Ils utilisent souvent des tests de criblage qui peuvent donner une indication quant à la présence d’OGM, sans autre précision de sa nature. Pour réaliser des tests probants il leur faudrait avoir premierement l’accès à de l’ADN purifie en quantite suffisante et deuxiement des échantillons temoins pour interpréter et valider les résultats. Par example dans le cas du riz, Bayer a donné des échantillons. Mais la majorité des OGM laborés par les sociétés de biotéchnologies font l’objet d’une protéction industrielle. Comme les laboratories privés n’ont pas d’accès au secret de leur laboration ils n’ont pas toujours des moyens pour contrôller leurs résultats. Il est aussi très difficile d’analyser des produits raffinés - comme des huiles - où ne subsistent pratiquement plus de traces de l’ADN.
Nous venons maintenant à notre derniere point. Quelle est la solution pour ces problèmes? Les gouvernements devraient investir plus d’argent dans les recherches et introduire des sanctions plus hautes pour ceux qui ignorent la réglementation. Un facteur important est aussi de plus en plus forte pression de consommateurs.
Pour resumer, les OGM ne cessent pas de pénétrer sur la marché européenne et je pense qu’ils seront de plus en plus fréquent. Je pense que nous avons de la chance d’avoir la possibilité de se bien informer et ensuite choisir êntre des produits consommateurs avec beaucoup de prudence.